Projet de démolitions rue de la Samaritaine !
Un scandaleux projet de démolition de sept maisons typiques situées rue de la Samaritaine (n°16, 18, 20A, 20B, 22, 22A) et au coin de la rue des Chandeliers était à l’enquête publique jusqu’au 24 novembre ! La Commission de concertation se réunit mardi 5 décembre à 11h35 au Centre administratif de la Ville de Bruxelles (bd Anspach, 6 à 1000 Bruxelles, 12ème étage), avant de rendre un avis sur ce projet. Soyons-y nombreux à exprimer notre opposition (les habitants de toutes les communes ont droit au chapitre, pas uniquement les riverains). Ces anciennes maisons, dont celle qui abritait encore jusqu’il y a peu le Théâtre de la Samaritaine, font le charme de ces rues. Les démolir, c’est démolir l’âme du quartier, briser sa magie, effacer sa mémoire.
Dans leur demande de permis d’urbanisme, « deux propriétaires voisins de la rue de la Samaritaine » (dont Louis Grandchamp des Raux, un riche collectionneur d’art) expliquent qu’ils « souhaitent mettre en place un projet commun, un investissement à titre privé, visant à réhabiliter leurs immeubles et simplifier et assainir l’organisation intérieure de leurs constructions en intérieur d’îlot. Les parcelles forment un terrain de 704 m2 construit actuellement de 2019.50 m2. Le projet a pour but d’apporter cohérence, dynamisme et qualité à l’ensemble de l’îlot. Les fonctions existantes, logements, théâtre et commerces de proximité tiennent à cœur aux propriétaires. Celles-ci seront conservées et mises en valeur. »
Qu’en jolis mots ces choses-là sont dites : « réhabiliter », « simplifier », « cohérence », « dynamisme »… mais pas une fois les termes « démolition » ou « rentabilité ». À les écouter, c’est une action purement altruiste, au service de la ville et des habitants !
VENTE PUBLIQUE : La recette…. huit millions sept cents mille euros ! Et trois records mondiaux !
Artcurial, Collection Louis Granchamp des Raux
C’est le chiffre extraordinaire que vient d’atteindre la maison de vente française Artcurial pour une cinquantaine de tableaux des 17e et 18e siècles français. La collection appartenait à un français qui vit en Belgique depuis une vingtaine d’années, Louis Grandchamp des Raux.
« C’est du Belge » à suivre ce vendredi 17 avril dès 20h15 sur La Une !
op cit « La Deux RTBfFnfo »
Dommage pour notre rue, que Pierre et vendu une partie de son patrimoine ou il est né et dans lequel il a mit tant de
labeur.Guy Caytan.
Dommage pour notre rue, que Pierre et vendu une partie de son patrimoine ou il est né et dans lequel il a mit tant de
labeur.Guy Caytan.
dommage qui’il l’ai laissé pourrir (à dessein) depuis plus de 30 ans, dans le seul but de le revendre au plus offrant ….
Huguette Van Dyck